(image source: Lisez)
Summary:
L’histoire est-elle condamnée à se répéter ? Cette question fameuse mérite particulièrement d’être posée concernant la naissance et la chute des Empires. Depuis l’Antiquité, certaines contrées, par le fer, l’or et l’esprit, se hissent au rang de puissance prépondérante et dominent une large partie du monde. Pourtant, selon l’adage fameux de Jean-Baptiste Duroselle, « tout empire périra » pour des raisons diverses même si un noyau dur d’explications peut être appliquée dans presque tous les cas : crises de croissance notamment en matière d’intégration, paupérisation économique, épuisement du modèle militaire et naturellement apparition et renforcement de rivaux. Pour la première fois, des historiens de renoms, spécialistes dans leurs domaines respectifs, racontent et analysent avec brio le déclin et la chute des grands « Empires qui ont fait le monde », de Rome à Washington en passant par la Chine, l’Empire des Steppes, Byzance, l’Espagne, le grand Empire de Napoléon, l’Autriche-Hongrie, la Russie, le IIIème Reich… et bien d’autres.On the editors:
Directeur de la Fondation Napoléon, Thierry Lentz s’est affirmé comme le meilleur connaisseur actuel de l’époque impériale, comme en témoigne sa Nouvelle histoire du Premier Empire en quatre volumes (2002-2010). Il a récemment publié chez Perrin Le Congrès de Vienne. Une refondation de l’Europe 1814-1815 et Les vingt jours de Fontainebleau. La première abdication de Napoléon 31 mars-20 avril 1814, Waterloo et une biographie de Joseph Bonaparte. Professeur à l’EHESS, Patrice Gueniffey a notamment publié Le nombre et la raison (1993), La politique de la Terreur, Essai sur la violence révolutionnaire (2000). Le 18 Brumaire, L’épilogue de la Révolution française (2008) et son Bonaparte (2013) ont été universellement salués par la critique. Il a depuis dirigé les meilleurs historiens dans l’ouvrage collectif à succès Les derniers jours des rois chez Perrin et Le Figaro (2014) et vient de publier son très attendu « Napoléon et De Gaulle. Deux héros français ».(source: Perrin)